Oyé oyé braves gens, la "citacon" est de retour. Comme de coutume après un article fort apprécié (le parfum "L" génère quotidiennement une centaine de lettres de fans du sexe faible), Lansb Mag vous propose une petite pause connerie, légère et sans prétention, à la mode du désormais célèbre agriculteur helvétique qui était resté à la une de votre canard fossile pendant deux mois l'été passé...
Bref, plus qu'une "citacon", c'est pratiquement un dicton, voire un "ditcon" que je vous propose aujourd'hui.
Qui n'a en effet jamais médité sur le fameux "Femme qui rit à moitié dans ton lit" ?
Quel adolescent au sex-appeal nanométrique ne s'est jamais lancé dans un régime de Carambar pour tenter d'étendre la belle Séverine de 2°3 dans son plumard désordonné de puceau malhabile et acnéique ?
"Femme qui rit, à moitié dans ton lit". Quid de l'autre moitié ? Bon, si l'objet du désir est la cousine germaine de Maïté ou la soeur de Sonia Dubois, une demi-portion suffit largement à rudement mettre à l'épreuve les lattes de votre Dunopillo, je vous l'accorde. Mais s'il s'agit d'une Scarlett Johansson en herbe, d'une Gisele Bündchen en puissance, d'une Heidi Klum en... mieux, alors pas question faire l'impasse sur cette fameuse autre moitié, il y a des choses qui ne se font pas !
Nonobstant un bon sens évident, ce "ditcon" s'avère ambivalent. En effet, ne pourrait-on pas imaginer qu'en étant drôle, vous fassiez tellement glousser la dite femelle qu'elle en tombe à moitié de la couche où elle se trouvait déjà, en votre compagnie ? Ainsi, l'humour pourrait-il être considéré comme une arme pour éloigner l'amante ou la maîtresse trop entreprenante (cela existe-t-il réellement ?) ou trop collante (plus réaliste) ? Peu probable, mais cette piste mériterait d'être éxplorée...
Et l'homme dans tout cela ? N'existe-t-il pas de comportements sociaux suffisamment caractéristiques du mâle allongé sur une paillasse quelconque dans un but lubrique que l'on ne puisse en tirer un bon mot analogue ? C'est ce que nos équipes de sociologues spécialistes en "citacons" ont cherché à établir.
Un premier jet visant directement notre éternel ami le Jouy, nouvelle icône chamoniarde ("Femme du Jouy pas encore dans son lit") fut rejetée et son auteur licencié sur le champ. On ne s'attaque pas impunément à l'un des plus influents membres du Directoire de LM. La suite fut plus productive et a accouché d'un "ditcon" tellement évident et suintant de vérité que l'on se demande comment d'autres n'y ont pas pensé avant nous.
Nous l'offrons ici à votre réflexion, et espérons qu'il nourrira votre riche conversation lors de dîners en ville. N'oubliez pas qu'une "citacon" se grave d'autant mieux dans la mémoire collective qu'elle est usitée régulièrement. Usez-en et abusez-en donc sans la moindre retenue !
Bref, plus qu'une "citacon", c'est pratiquement un dicton, voire un "ditcon" que je vous propose aujourd'hui.
Qui n'a en effet jamais médité sur le fameux "Femme qui rit à moitié dans ton lit" ?
Quel adolescent au sex-appeal nanométrique ne s'est jamais lancé dans un régime de Carambar pour tenter d'étendre la belle Séverine de 2°3 dans son plumard désordonné de puceau malhabile et acnéique ?
"Femme qui rit, à moitié dans ton lit". Quid de l'autre moitié ? Bon, si l'objet du désir est la cousine germaine de Maïté ou la soeur de Sonia Dubois, une demi-portion suffit largement à rudement mettre à l'épreuve les lattes de votre Dunopillo, je vous l'accorde. Mais s'il s'agit d'une Scarlett Johansson en herbe, d'une Gisele Bündchen en puissance, d'une Heidi Klum en... mieux, alors pas question faire l'impasse sur cette fameuse autre moitié, il y a des choses qui ne se font pas !
Nonobstant un bon sens évident, ce "ditcon" s'avère ambivalent. En effet, ne pourrait-on pas imaginer qu'en étant drôle, vous fassiez tellement glousser la dite femelle qu'elle en tombe à moitié de la couche où elle se trouvait déjà, en votre compagnie ? Ainsi, l'humour pourrait-il être considéré comme une arme pour éloigner l'amante ou la maîtresse trop entreprenante (cela existe-t-il réellement ?) ou trop collante (plus réaliste) ? Peu probable, mais cette piste mériterait d'être éxplorée...
Et l'homme dans tout cela ? N'existe-t-il pas de comportements sociaux suffisamment caractéristiques du mâle allongé sur une paillasse quelconque dans un but lubrique que l'on ne puisse en tirer un bon mot analogue ? C'est ce que nos équipes de sociologues spécialistes en "citacons" ont cherché à établir.
Un premier jet visant directement notre éternel ami le Jouy, nouvelle icône chamoniarde ("Femme du Jouy pas encore dans son lit") fut rejetée et son auteur licencié sur le champ. On ne s'attaque pas impunément à l'un des plus influents membres du Directoire de LM. La suite fut plus productive et a accouché d'un "ditcon" tellement évident et suintant de vérité que l'on se demande comment d'autres n'y ont pas pensé avant nous.
Nous l'offrons ici à votre réflexion, et espérons qu'il nourrira votre riche conversation lors de dîners en ville. N'oubliez pas qu'une "citacon" se grave d'autant mieux dans la mémoire collective qu'elle est usitée régulièrement. Usez-en et abusez-en donc sans la moindre retenue !
"Homme qui jouit, à moitié endormi."
Lansb.
Le L légèrement vêtu semble dormir debout... quelle conclusion en tirer ?
5 commentaires:
prem's
Joli temps de réaction d'autant que j'ai pas sonné les trompettes cette fois-ci !
muf' deuz!
Que cache cette désaturation de la partie basse de l'image? Viserait-elle à masquer un non- bronzage des jambes qui jurerait avec la tête de bite du rédac chef?
En tout cas cet amateurisme photoshopéen n'est sûrement pas le fait de Jouydesign.com!
Quelle puissance de reflexion, le tout en these anti-these synthese, emballez c'est torché..
Et avec un petit coup d'oeil de derriere les fagots, on peut voir que les orteils du L-redacteur sont bien cripés, signe que se montrer a la voisine légerement vetu en plein hiver, ben ça calme, ou alors ça concorderai a l'interrogation de fin d'article..a explorer
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