La parité homme/femme, un sujet... poilant !

Des jours à la pelle, des cuillerées de semaines , presque des mois au compte-gouttes désormais qu'on vous le promet: le nouvel opus du L, après le succès phénoménal rencontré par Fatal Mazoota. Le fameux "Face à ta mère", de Cradogero featuring Pussy, annoncé depuis quelques temps déjà, sera à n'en pas douter l'un des tubes de l'été.

Et cette fois, plus question de se contenter d'un petit millier de spectateurs sur YouTube (ce qui n'est déjà pas si mal, convenons-en !). Non, nous souhaitons désormais faire une entrée fracassante dans le monde si superficiel et anti-culturel de la variété française à tendance humoristique! A n'en pas douter, on s'y sentira comme chez soi à Lansb Mag !

Oui, chers amis, cette fois, "Univerlansb Music" a mis les petits plats dans les grands. Travail vocal, images soignées, ça va frapper très fort, et nul doute que les plus audacieux d'entre vous grooveront leur body sur les dancefloors enflammés de l'été au son (bien lourd) du duo nauséabond Crado-Pussy !

Nouveauté: le clip n'est désormais plus confié filmé à de jeunes Roumains badgés Erasmus armés d'une caméra made in Taiwan des années 90. Terminé ! Sur ce coup là, "The Artist" s'est offert les services de l'un des plus talentueux réalisateurs/designers de sa génération (catégorie -18 ans): le célèbre Casscroot en personne, directeur artistique du cabinet Jouydesign.com !

Bien évidemment, faire appel à un professionnel du montage vidéo a un prix, pas toujours abordable pour notre petite "connerentreprise". Heureusement, à Lansb Mag, on croit énormément aux valeurs ancestrales et au système féodal trop tôt disparu: Le droit de cuissage, les magouilles, le dissuasif "oeil pour oeil dent pour dent", la Sainte Inquisition, la femme à la maison, et le béni système du troque...

Ainsi, en échange de ce menu service numérico-virtuel, le L a-t-il remis en main propre (enfin plus ou moins propre) à son jeune fils spirituel et cher ami les clés d'une magnifique et rutilante... jeune femme !

Il s'agit d'un modèle 87, de marque L., modèle Sophie. Non c'est trop parlant, respectons son droit à l'image, disons plutôt de marque Loos, modèle S. Oui, c'est mieux comme ça !

Il s'agit d'un bon produit de milieu de gamme, idéal quand on est jeune conducteur et que l'on débute dans le circuit. Un rapport qualité/prix des plus avantageux !

La SL 1987 donc, modèle première main assez peu kilométré, est toute équipée, ce qui est rare pour un véhicule si jeune: kit carrosserie agressif (ailes sport élargies...), double airbags frontaux à fort volume, radar de recul (comment veux-tu comment veux-tu...), sièges en cuir de vache pleine peau (tout doux, nourris jusqu'à peu au lait pour bébé), le boulier sur les fauteuils (spécial Fuego ou R18 Turbo Touch) pour que tout trajet se transforme en massage ayurvédique, sans oublier le volant moumoute à poils ras et le logo "OM Droit au but !" qui pend du rétro ! Le compromis parfait pour que voyager soit toujours un plaisir... C'est bien simple, une fois que vous aurez pénétré dans votre SL, vous ne voudrez plus en sortir !

La SL possède également bien des options malgré son prix d'attaque particulièrement attractif ! Seules quelques unes, rares privilèges de modèles Allemands plus luxueux, ne sont pas encore proposés au catalogue du con-structeur hexagonal (mis en dépôt de bilan après 1987, la Sophie étant le dernier modèle issu des usines Loos). Attention cependant à ne pas surmener votre fier et fidèle destrier: la SL a parfois du mal à se contrôler quand on attaque à la limite, et bien qu'elle vous donne l'impression d'avoir encore de la marge, sachez lever le pied, surtout en montagne. Elle pourrait vous envoyer valser par dessus la balustrade, et vos vies n'en seraient que plus... Courtes (Non non Tournesol, un peu plus au Nord Est).

Gageons que Fanfan, son récent et heureux propriétaire, admirable bricoleur à ses heures, saura tuner son nouveau joujou avec autant de talent qu'il a transformé son C15 bétaillère en confortable baise-en-ville ! Que souhaiter au jeune couple pour la suite ? Le meilleur, à n'en pas douter !

Un dicton populaire à l'Ile Verte dit que:

"Les gonzesses, c'est comme les bagnoles: soit tu t'en débarrasses quand elles n'ont pas trop de bornes et tu en tires un bon prix, soit tu es obligé de les garder jusqu'au bout, car elles deviennent invendables !"

Et hop, une citacon en cadeau Bonux pour le même prix. Quand on sait que notre Fanfan national aime à sillonner les routes de France et de Navarre au volant de sa célèbre fourgonnette rouillée qui pleure, on ne peut qu'être optimiste pour la suite de cette belle histoire !

Nous tenons à remercier le concessionnaire AOR (Automobiles d'Occasion Rebreyend) pour son aide dans le choix du véhicule (Qui a dit "comment veux-tu comment veux-tu..." !), qui s'avère finalement tout à fait adapté à notre estimé camarade.

Anticipant d'entrée les désagréables et inévitables retours qu'engendrera cette débauche de connerie machiste, nous attirons votre attention sur le fait que LM sait également s'approprier quelques combats modernes bien dans le vent. La parité homme-femme en est un qui nous tient à coeur.

Si le début des années 2000 a souvent vu les vedettes du BLMS arborer une superbe "Tête de bite" au lendemain de sorties à ski (la faute à leur philosophie en matière de crème solaire "Mieux vaut guérir que prévenir"), jamais membre du quatuor mythique ne s'est aventuré à s'afficher avec une magnifique "Tête de chatte"... Un oubli aussi inadmissible qu'inégalitaire, qu'il convenait de réparer... Vieux motard que jamais, aurait pu dire le regretté Coluche !

A l'heure où Nat fêtait son 30ème anniversaire, qui coincidait avec le succès interplanétaire du L au proba de ski de l'Aspirant Guide, il était grand temps de réparer cette injustice !

Le "bleu Nat'n'co" était à l'honneur pour cette soirée des plus sympathiques organisée dans les locaux rue Casimir... Rodier. Si Nat avait eu l'idée colorée de teindre sa tignasse d'un bleu roi du meilleur effet, la merveilleuse Béa (traduction littérale de Wonder Bea) avait décidé de pousser l'hommage et le mimétisme jusqu'au bout... des ongles !

Une Béa "Bleue comme l'enfer" comme dirait Philippe Djian...

La belle brune dont les clichés nocturnes sont tout sauf une pollution... n'arrive cependant pas toujours à s'affranchir d'une pudeur génétique parfois trop envahissante. Le L s'est donc chargé d'illustrer à sa manière le jusqu'au boutisme par trop discret de la PDG de Sole Lansbis. Ainsi, Super Connard arborait fièrement, à l'échelle 8:1 (et non pas 1:8 comme le prétendent les mauvaises langues), une reproduction fidèle du lieu à la fois si mystérieux et convoité que Béa dissimule derrière son string ficelle...

Les chiennes de garde vont pouvoir me lâcher la grappe, la parité homme/femme est, bien des années après, finalement respectée !


Un ticket de métro bleu, aux couleurs de Nat'n'co. Béa ayant le même dans un endroit tenu secret, ça fait un partout la balle au centre !
A noter que l'imbibé Tal, au jugement biaisé par un abus manifeste de substances alcoolisées, a semblé fort attiré par le crâne "Tête de chatte" du L et s'est gentiment proposé pour y "claquer une langue" ! "Blue pussy head" a poliment décliné l'offre de son ami dont c'était, également, l'anniversaire !